Il y a des entités qui sont immuables.
Tu l’as certainement connu, toi aussi, cet être exécrable qui existe systématiquement au sein de tout groupe (la notion de groupe étant plus ou moins subie selon les cas). Que ce soit en arrivant en cours, ou en allant bosser, les efforts que ça demande de déployer sont souvent balayés par une seule sale gueule, le rebut de l’humanité assis au fond de la pièce… Tu le vois ? Oui, en général pas loin de la fenêtre, ou devant un ordinateur pour avoir mieux à faire que te regarder au moment où, dans une entrée grandiose, lors d’un matin lumineux, tu vas lancer ton plus chaleureux « Bonjour ! » à toute l’assemblée. Et te prendre un monumental vent de la part de cet individu qui, malgré son désir de repli, n’est que plus remarquable par sa non-présence.
C’est bon, tu l’as repéré. Tu sais que celui-ci (ou celle-là), les conventions d’entrée et de sortie (bonjour, bonsoir), ce sont des notions qui le dépassent. Il transpire le mépris comme un athlète grec à la fin des J.O. Et ça a l’air de le faire souffrir de vivre ce moment. Mais, conventions obligent, tu le veux ton « bonjour » même si au final, tu te contrefous de ce qu’il peut bien te souhaiter pour le reste de la journée, entre rater bêtement une marche dans l’escalier ou te faire écraser par un bus dont les freins ont lâché.
Histoire de le faire chier et de lui faire croire que tu es persuadé qu’il a un potentiel minimum pour l’intégration sociale, tu te penches dans sa direction en glissant l’index derrière ton oreille et tu jettes bien bruyamment : « Tu m’as dit quelque chose ?! ». Et là, ce bâtard trouve le moyen de t’en mettre une cash : « Non. »
Tu l’as certainement connu, toi aussi, cet être exécrable qui existe systématiquement au sein de tout groupe (la notion de groupe étant plus ou moins subie selon les cas). Que ce soit en arrivant en cours, ou en allant bosser, les efforts que ça demande de déployer sont souvent balayés par une seule sale gueule, le rebut de l’humanité assis au fond de la pièce… Tu le vois ? Oui, en général pas loin de la fenêtre, ou devant un ordinateur pour avoir mieux à faire que te regarder au moment où, dans une entrée grandiose, lors d’un matin lumineux, tu vas lancer ton plus chaleureux « Bonjour ! » à toute l’assemblée. Et te prendre un monumental vent de la part de cet individu qui, malgré son désir de repli, n’est que plus remarquable par sa non-présence.
C’est bon, tu l’as repéré. Tu sais que celui-ci (ou celle-là), les conventions d’entrée et de sortie (bonjour, bonsoir), ce sont des notions qui le dépassent. Il transpire le mépris comme un athlète grec à la fin des J.O. Et ça a l’air de le faire souffrir de vivre ce moment. Mais, conventions obligent, tu le veux ton « bonjour » même si au final, tu te contrefous de ce qu’il peut bien te souhaiter pour le reste de la journée, entre rater bêtement une marche dans l’escalier ou te faire écraser par un bus dont les freins ont lâché.
Histoire de le faire chier et de lui faire croire que tu es persuadé qu’il a un potentiel minimum pour l’intégration sociale, tu te penches dans sa direction en glissant l’index derrière ton oreille et tu jettes bien bruyamment : « Tu m’as dit quelque chose ?! ». Et là, ce bâtard trouve le moyen de t’en mettre une cash : « Non. »
Ok, la guerre est déclarée.