Essayiste ou clichéiste ?
Apparemment, miss Polony, habituellement l'une des personnes les moins sous développées de sa génération, vient de perdre 2000 points en versant dans un des pires clichés qui soient ; la féminisation de l'enseignement ! L'idée, c'est quoi ? C'est que les petits garçons sont de plus en plus nombreux à être en échec scolaire parce que les instituteurs sont trop souvent des institutrices et sont donc trop maternantes dans un milieu où ceux ci auraient besoin d'une figure masculine autoritaire pour progresser... Super !
Il est question une fois de plus "d'identification". Ca commence à m'exaspérer. Pareil que dans les débats sur les jeux vidéo où des grandes boites de développement ont refusé certains jeux sous prétexte que le héros, étant une héroine, allait freiner le processus d'identification des joueurs essentiellement masculins dans ce monde virtuel.
En quoi l'identification est elle une vertu/obligation ? Et pourquoi doit elle absolument passer par le sexe ? Parce qu'elle semble belle est bien impossible si on n'a pas le même équipement génital que la personne en face. Ne pourrait-on pas s'identifier à une carrière, un style de vie, whatever ?
Si encore l'idée était de dire qu'il est dommage que le professorat soit un cliché parce qu'il est hyper féminisé car c'est un des rares boulots dans lequel la femme trouve le temps de pouponner, ok, passe encore. Mais tout ceci est un vulgaire mélange entre les sexes et le problème de l'éducation, qui ne date pas d'hier et qui est bien plus large qu'une affaire d'identification, d'autorité ou de comportements maternants. Ce n'est pas avec des constats aussi arriérés que va s'en sortir la prochaine génération.
Bref, il est de toute façon de notoriété publique que les mecs sont plus branleurs que les nanas et cela même quand les les enseignants étaient des hommes barbus, lunettés et psychorigides, m'voyez dans le cliché là ?
Apparemment, miss Polony, habituellement l'une des personnes les moins sous développées de sa génération, vient de perdre 2000 points en versant dans un des pires clichés qui soient ; la féminisation de l'enseignement ! L'idée, c'est quoi ? C'est que les petits garçons sont de plus en plus nombreux à être en échec scolaire parce que les instituteurs sont trop souvent des institutrices et sont donc trop maternantes dans un milieu où ceux ci auraient besoin d'une figure masculine autoritaire pour progresser... Super !
Il est question une fois de plus "d'identification". Ca commence à m'exaspérer. Pareil que dans les débats sur les jeux vidéo où des grandes boites de développement ont refusé certains jeux sous prétexte que le héros, étant une héroine, allait freiner le processus d'identification des joueurs essentiellement masculins dans ce monde virtuel.
En quoi l'identification est elle une vertu/obligation ? Et pourquoi doit elle absolument passer par le sexe ? Parce qu'elle semble belle est bien impossible si on n'a pas le même équipement génital que la personne en face. Ne pourrait-on pas s'identifier à une carrière, un style de vie, whatever ?
Si encore l'idée était de dire qu'il est dommage que le professorat soit un cliché parce qu'il est hyper féminisé car c'est un des rares boulots dans lequel la femme trouve le temps de pouponner, ok, passe encore. Mais tout ceci est un vulgaire mélange entre les sexes et le problème de l'éducation, qui ne date pas d'hier et qui est bien plus large qu'une affaire d'identification, d'autorité ou de comportements maternants. Ce n'est pas avec des constats aussi arriérés que va s'en sortir la prochaine génération.
Bref, il est de toute façon de notoriété publique que les mecs sont plus branleurs que les nanas et cela même quand les les enseignants étaient des hommes barbus, lunettés et psychorigides, m'voyez dans le cliché là ?