Cette merde...
Le moustique, comme tout autre insecte ou animal, est une espèce qui a ses modes de nutrition bien à lui. Et l'un d'eux, comme chacun sait, est de piquer les mammifères pour se nourrir de leur sang, avec un consentement plus ou moins appuyé de la part de ceux-ci, mais on y reviendra plus tard.
Donc, jusque là, rien de "personnel".
De plus, nous n'avons pas affaire au plus grand type de prédateur que la terre ait jamais porté. Son format est extrêmement petit et risible et les conséquences de sa nutrition, disons-le, sont assez limitées.
Mais voilà, de part son mode "d'être au monde", le moustique est une espèce de salope que chacun redoute terriblement, sous toutes ses manifestations.
Ca commence par la manifestation de sa présence. En effet, cette grosse merde veut vous voler du sang, mais personne ne lui a suggéré de le faire en silence. Ce bruit, terriblement strident et caractéristique quand il plane vous fait aisément dire "putain, la nuit va être longue". Quand il ne vous fait pas carrément jaillir de votre lit, mais là, chacun son style.
Ensuite, son mode d'approche... Bien qu'il fasse chaud et que vous dormiez presque entièrement nu (voire totalement), ce gland ci n'a l'air d'avoir qu'une envie, vous faire savoir qu'il est là en venant flirter avec votre oreille, qui au demeurant, ne doit pas représenter plus de 2% de la surface de peau exposée.
Il vient si près que vous sentez le vent de ses minuscules ailes qui battent l'air quand il fait du "sur place", tel un hélicoptère, préparant son landing sur vous.
Là encore, chacun son style. Entre les grands gestes hasardeux, ou les claques dans la tronche, on fait ce qu'on peut ou l'on subit comme une victime.
Enfin, si vous trouvez le sommeil entre deux baffes et une crise de nerfs, de ces parties de safari dans le noir, c'est au matin que vous apprécierez de compter vos nombreux échecs grattants face à lui.
Entre les emplacements parfois totalement incongrus et le nombre de ces charmants boutons rouges laissés sur votre peau, qui vont vous faire arborer un comportement de primate pendant les cinq prochains jours, vous en venez quand même à vous demander s'ils étaient trente dans la piaule et s'ils ont développé des techniques de spéléologie pour vous piquer aux endroits les plus improbables jusque sous les draps.
Clairement, je crois que c'est important de souligner cette différence fondamentale chez le moustique : il existe pour nous faire chier.
Le moustique, comme tout autre insecte ou animal, est une espèce qui a ses modes de nutrition bien à lui. Et l'un d'eux, comme chacun sait, est de piquer les mammifères pour se nourrir de leur sang, avec un consentement plus ou moins appuyé de la part de ceux-ci, mais on y reviendra plus tard.
Donc, jusque là, rien de "personnel".
De plus, nous n'avons pas affaire au plus grand type de prédateur que la terre ait jamais porté. Son format est extrêmement petit et risible et les conséquences de sa nutrition, disons-le, sont assez limitées.
Mais voilà, de part son mode "d'être au monde", le moustique est une espèce de salope que chacun redoute terriblement, sous toutes ses manifestations.
Ca commence par la manifestation de sa présence. En effet, cette grosse merde veut vous voler du sang, mais personne ne lui a suggéré de le faire en silence. Ce bruit, terriblement strident et caractéristique quand il plane vous fait aisément dire "putain, la nuit va être longue". Quand il ne vous fait pas carrément jaillir de votre lit, mais là, chacun son style.
Ensuite, son mode d'approche... Bien qu'il fasse chaud et que vous dormiez presque entièrement nu (voire totalement), ce gland ci n'a l'air d'avoir qu'une envie, vous faire savoir qu'il est là en venant flirter avec votre oreille, qui au demeurant, ne doit pas représenter plus de 2% de la surface de peau exposée.
Il vient si près que vous sentez le vent de ses minuscules ailes qui battent l'air quand il fait du "sur place", tel un hélicoptère, préparant son landing sur vous.
Là encore, chacun son style. Entre les grands gestes hasardeux, ou les claques dans la tronche, on fait ce qu'on peut ou l'on subit comme une victime.
Enfin, si vous trouvez le sommeil entre deux baffes et une crise de nerfs, de ces parties de safari dans le noir, c'est au matin que vous apprécierez de compter vos nombreux échecs grattants face à lui.
Entre les emplacements parfois totalement incongrus et le nombre de ces charmants boutons rouges laissés sur votre peau, qui vont vous faire arborer un comportement de primate pendant les cinq prochains jours, vous en venez quand même à vous demander s'ils étaient trente dans la piaule et s'ils ont développé des techniques de spéléologie pour vous piquer aux endroits les plus improbables jusque sous les draps.
Clairement, je crois que c'est important de souligner cette différence fondamentale chez le moustique : il existe pour nous faire chier.
N'empêche, je suis tout à fait d'accord. Les insectes sont d'une inutilité absolue, à exterminer sur-le-champ.